L’histoire du monde de Tera, ou les prémices du « end game »

Auteur chez En Masse Entertainment, Dave Noonan imagine notamment l'histoire du monde de TERA. Dans un entretien accordé à The Examiner, il revient notamment sur ses sources d'inspiration pour l'histoire de Tera (les mythes de l'antiquité grecque, notamment) et le soin accordé à l'immersion du joueur dans le monde de son MMORPG (« l'importance de ressentir le monde » voulant faire de Tera, « un lieu où les dieux et la magie occupent une place à la fois authentique et réelle »).
Il apparaît également que l'histoire du MMO influence son gameplay. Par exemple, entre les deux continents du Shara et d'Arun en plein milieu de la carte du monde, l'Island of Dawn (littéralement, l'île de l'aube) intrigue.

« L'Île de l'Aube est le premier mystère auquel les joueurs seront confrontés. Voici plusieurs mois, une île a émergé de la mer en quelques instants - et c'est une île complète, avec ses bâtiments intacts et d'étranges habitants. Pour les habitants de Tera, c'est un concept ahurissant, notamment parce que c'est la première fois qu'apparaît un morceau de terre n'appartenant ni au continent Arun, ni au Shara. Comment une île pourrait-elle exister sans être connectée aux créateurs de l'univers ? Nombreux sont ceux à y voir un présage de grands événements à venir. »

Par ailleurs, dans les présentations des principaux hauts lieux du monde de Tera Online, Dave Noonan abordait récemment le cas des Argons, peuple belliqueux venant des entrailles de la terre (voir la présentation du Shara Septentrional). Les joueurs seront-ils amenés à visiter le sous-sol de Tera ?

« Sans trop en dévoiler pour l'instant, il suffit de dire que plusieurs composantes des instances end-game nous conduisent face aux Argons. Et quand on explore leur territoire, on ne voit pas le ciel. »

Manifestement, si le gameplay de Tera: The Exiled Realm of Arborea s'appuie sur essentiellement sur l'action, le jeu semble aussi renfermer quelques mystères à découvrir au fil du jeu...
L'intégralité de l'entretien est disponible en anglais à cette adresse, illustré de quelques captures d'écran inédites.